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ATTENTION : le site est déplacé :
Etant mutés à Mayotte le site ne pouvait plus être hébéergé par free (gestion des sites à partir de la France métropolitaine seulement !). Le site est donc transféré à l'adresse suivante :
http://escaladebruno.nexgate.ch |
|  Les situations d'apprentissage |
Lorsque vous êtes amenés à enseigner l'escalade et que vous ne connaissez que très peu l'activité, beaucoup d'entre vous sont à la recherche de situations permettant à vos élèves de progresser. Voici donc une rubrique importante du site qui vous permettra d'avoir un éventail, que j'espère le plus large possible, pour vous permettre de trouver des SA adaptées à vos élèves. Avant toute chose je tenais à vous préciser 2-3 petits éléments :
La majeure partie de mes situations (au moins pour les débutants en tout cas) s'effectue sur des voies "toutes prises", sans tenir compte de la couleur des prises. Ceci peut paraître particulier de prime abord mais il y'a une raison très simple à cela :
Beaucoup de mes situations demandent à l'élève un "mode de déplacement particulier", de profil pour l'égyptien, en faisant des pas d'adhérence pour la situation de l'adhérence, avec des pieds-mains imposés, etc... C'est un parti pris. Si l'on voulait être parfaitement logique il faudrait fonctionner à l'inverse : proposer une voie à l'élève qui induise un certain mode de déplacement à l'élève (voie zigzaguante pour apprendre à charger l'appui, voie avec des prises espacées pour apprendre le pas d'adhérence et le pied-main, etc...). Ce serait très certainement le meilleur des apprentissages : l'élève confronté à un problème doit s'adapter en trouvant une solution motrice particulière. De cette manière les apprentissages seraient très certainement beaucoup plus "ancrés" et donc plus susceptibles de réapparaître spontanément lorsque le problème se pose de nouveau.
Par contre, il faudrait pour cela être en mesure d'ouvrir "une voie pour chaque problème" et "d'attendre" que l'élève résolve le problème posé... Ce serait donc très lourd et lent à mettre en place.
J'ai donc choisi de fonctionner à l'envers. J'impose à l'élève un mode de déplacement et lui offre ainsi un éventail de "solutions motrices", en espérant qu'il sera en mesure d'aller piocher dans son nouveau repertoire gestuel, le geste adapté à un problème qu'il rencontrera lors d'une prochaine ascension.
Donc, et j'en resterai là, si j'impose un mode de déplacement particulier vous comprendrez bien qu'il serait complètement débile de le faire sur une voie particulière. Si je demande aux élèves de grimper en faisant des pieds mains sur une voie ne comportant que des petites prises ça n'aura pas de sens. C'est à l'élève de choisir quelles prises utiliser pour pouvoir effectuer le geste demandé (et c'est en ça que l'élève fournit un effort d'adaptation). Si je n'ai pas été clair, n'hésitez pas à me contacter pour plus d'infos...
Vous trouverez donc dans cette rubrique :
|  La présentation des fiches de SA |
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